Where Leaders Connect®

Du Terrain de Football à la Finance : La Transformation Inspirante de Sébastien Roy

CorporateConnections® Season 2 Episode 18

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Qu'est-ce qui peut bien transformer un joueur de football en un expert financier ? Rejoignez-nous alors que nous découvrons l'histoire inspirante de Sébastien Roy, ancien joueur vedette de la Ligue canadienne de football, qui a su faire une transition impressionnante vers le monde de la finance. Sébastien partage avec nous ses moments forts sur le terrain avec les Blue Bombers de Winnipeg, les Alouettes de Montréal, et les Stampeders de Calgary. Vous découvrirez comment son engagement dès l'âge de 12 ans à poursuivre une carrière en football a façonné non seulement son parcours sportif, mais aussi sa transition réussie vers le monde des affaires.

Nous explorons ensuite les parallèles fascinants entre les exigences du sport professionnel et celles de la gestion d'entreprise. Sébastien nous livre des anecdotes personnelles et des citations inspirantes pour illustrer comment la discipline, le travail d'équipe et une approche systématique peuvent mener au succès. Avec son parcours en football, il a appris à viser la perfection dans chaque petite action, une leçon qu'il applique aujourd'hui dans son rôle de gestionnaire de patrimoine chez Asante. Cette perspective unique lui permet de comprendre l'importance de chaque membre d'une équipe et la résilience nécessaire face aux échecs, des qualités essentielles pour tout chef d'entreprise.

Enfin, nous plongeons dans la vision holistique de Sébastien en matière de gestion de patrimoine. Tout comme la santé globale d'un corps humain, il est crucial de prendre en compte tous les éléments financiers et légaux pour optimiser la santé patrimoniale. En tant que membre actif de Corporate Connections Canada, Sébastien est également un leader communautaire exceptionnel. Connectez-vous avec lui via son site web et LinkedIn pour découvrir comment il combine ses expériences sportives et financières pour créer un impact positif. Ne manquez pas cette opportunité d'entendre des histoires inspirantes et des perspectives précieuses de leaders dans divers secteurs d'activité.

https://www.linkedin.com/in/assantesebastienroybrossard/

https://www.cifinancial.com/ci-assante/ca/fr/index.html

Trevor Botkin:

Et bienvenue à Where Leaders Connect, le podcast de Corporate Connections, où nous explorons les parcours et les points de vue des leaders les plus influents aujourd'hui dans divers secteurs d'activité. Je suis votre hôte, Ttrevor Botkin, le directeur national de Corporate Connections Canada, et je suis ravi de vous présenter une nouvelle conversation inspirante qui plonge dans l'esprit de ceux qui ont tracé leur chemin vers le succès. Aujourd'hui, nous avons une invitée spéciale qui a fait une transition remarquable de train de football au monde de la finance. Je vous invite à vous joindre à moi pour acquérir Sébastien Roy, ancien joueur vedette de la Ligue canadienne de football. Sébastien a porté sa passion pour le succès à de nouveaux sommets en tant que gestionnaire de patrimoine chez Asante.

Trevor Botkin:

Dans cet épisode, nous découvrons les leçons qu'il a tirées de sa carrière sportive, la façon dont elle a façonné son approche de la gestion de patrimoine et les stratégies qu'il utilise pour aider ses clients et atteindre leurs objectifs financiers pour aider ses clients à atteindre leurs objectifs financiers. Alors, sans plus attendre, plongeons dans la vie du sujet, m Sébastien Roy. Bonjour, monsieur, bonjour, trevor, merci de l'invitation, c'est un grand plaisir. Donc, comme j'ai dit au intro, toi tu étais un joueur au CFL, un joueur professionnel. Oui, En mode défense, tu as joué avec combien d'équipes?

Sébastien Roy:

Je me suis fait repêcher en 2003 par les Blue Bombers de Winnipeg. J'ai joué pour les Alouettes de Montréal en 2004. Je me suis fait repêcher et je suis allé jouer pour les St-Pierre-de-Calduré en 2005.

Trevor Botkin:

Et la ville favori pour toi de jouer devant.

Sébastien Roy:

C'est sûr que quand j'étais à Montréal, c'était excitant de jouer à Montréal aussi, c'était très enlevant parce que je revenais à la maison devant ma famille. D'ailleurs, ma première année quand j'ai joué pour les Blue Bombers, ça avait été toute une soirée. Il y avait à peu près 50 personnes de ma famille quand je suis arrivé au stade pour ma première game, évidemment pas comme un alouette, mais comme un Blue Bombers, mais quand même, ça a été un super souvenir. Mon père, ma famille, mes frères, cousins, cousines, ma grand-mère. C'était un bel événement. J'ai une belle photo de ça encore. Ça fait quand même quelques années, ça fait quasiment 2003,. Mon repêchage 2024. C'était un super. De beaux souvenirs. Je te dirais plusieurs villes canadiennes sont le fun à jouer dedans.

Sébastien Roy:

Saskatchewan, c'était une autre. Je te dirais plusieurs villes canadiennes sont le fun à jouer dedans. Saskatchewan, c'était une autre belle ville, parce que la rivalité entre Winnipeg et Saskatchewan est énorme. En plus, à cette année-là, en 2003, saskatchewan recevait la Grey Cup. Il y avait comme 55 000 personnes magistrales. Jouer devant 55 000 personnes, c'est électrisant, même s'ils taillissent, ils te bouent et ils te crient après. C'est quand même drôle et le fun de faire ça. C'était un rêve d'enfant, depuis que j'avais 12 ans, de pouvoir jouer. En tout cas, j'ai pris une décision quand j'avais 12-13 ans je vais tout faire à mon pouvoir pour essayer d'être repêché et de jouer au football. Quand j'avais 12-13 ans, je me disais je vais tout faire à mon pouvoir pour essayer d'être repêché et de jouer au football. Je suis très content de l'avoir fait.

Trevor Botkin:

C'est toujours qu'on joue au football, mais à l'école, à l'université, tu t'es pris quel en course.

Sébastien Roy:

Bien, moi, je suis allé. Mon parcours a été j'ai fait mon football civil, c'est-à-dire les barons de Saint-Bruno, pour ensuite me faire repêcher au Cégep. Donc, j'étais allé au Cégep du Vieux-Montréal, j'ai connu des trois années extraordinaires, j'ai joué avec des joueurs extraordinaires, j'ai connu des équipes extraordinaires, on a gagné trois championnats de suite. On a commencé la dynastie par la suite, parce qu'ils ont gagné beaucoup de bol d'or. Mais ça, c'était en 96, 17, 18. Et ensuite, de ça, je me suis fait recruter pour aller. Bon, je pouvais aller à peu près n'importe où au Canada. J'étais chanceux parce que le recrutement fonctionnait bien pour moi. Puis, j'ai décidé d'aller à loin.

Sébastien Roy:

C'est qu'à ce moment-là il faut se rappeler, en 1999, il y avait McGill, il y avait Concordia, mais l'Université de Montréal, laval commençait, l'université de Montréal n'existait pas, sherbrooke n'existait pas. Donc, il y avait plusieurs programmes, qui sont des bons programmes aujourd'hui, qui n'étaient pas là. Et je voulais aller étudier la business, parce que je m'en allais dans un curriculum de finance marketing. J'ai fait un baccalauréat en marketing et en finance, donc un BICOM, un bac of commerce, administration des affaires, en français. Mais je voulais apprendre l'anglais parce que moi, à 19 ans, j'avais une lacune je ne parlais pas bien anglais. Évidemment francophone de Saint-Basile-le-Grand, je n'ai pas été immersé dans l'anglais, malgré que tous les amis autour de moi à Saint-Bruno parlaient bien anglais, mais c'était une lacune. Donc, je me suis exilé au Nouveau-Brunswick, montalosun. C'est une des meilleures écoles au Canada. Les gens ne connaissent pas ça, c'est répété, autant comme McGill. Donc c'est une bonne école. Mais j'étais loin aussi un peu de ma famille. J'ai rendu à 19-20 ans. C'était le moment de quitter le nid familial pour dire qu'on se prend en main et qu'on s'organise avec nos affaires.

Sébastien Roy:

Ça a été des années difficiles parce qu'à Mont-Alosun, j'ai changé. J'étais arrivé là-bas. C'était l'équipe numéro un quand on était au Canada. Dans le passé, il y avait un gars qui s'appelait Éric Lapointe, qui était le meilleur running back de tous les temps universitaire, qui venait jouer six ans pour les Alouettes, qui était mon partena. Éric Lapointe, ce gars-là, il est parti pour la CFL. On avait une super bonne équipe. Une fois qu'il est parti, l'équipe a tombé. Les quatre ans que j'ai vécu là-bas ont été dans l'adversité. On a changé quatre fois de coach. Il y avait beaucoup, beaucoup, beaucoup de choses, de programmes. Il était à refaire.

Sébastien Roy:

Ça n'a pas été simple, mais dans l'adversité, tu apprends et tu es loin. Tu ne peux pas dire je vais revenir à la maison, tu es à 12 heures de route, you suck it up, comme on peut dire, ou tu vis avec et you find a way À un moment donné. Ça fait partie de la vie. J'ai adoré mon expérience là-bas. Je me suis fait des amis pour la vie. C'est une petite école, ça ressemble à Béchop, c'est 2500 élèves, mais par contre, j'ai pu avoir une très bonne éducation avec des très bons amis.

Sébastien Roy:

Ça a marqué un peu ce qui s'est passé par la suite. J'ai travaillé à l'université versus le cégep. J'ai vraiment appris à mieux travailler, à avoir des disciplines d'études que je n'avais peut-être pas avant au cégep, quand j'étais arrivé à l'université, tu n'as pas le choix, surtout que j'apprenais une langue. Mon premier semestre, les notes n'étaient pas fortes parce que je ne comprenais pas tout. Mais à force de travailler et de continuer, et à un moment donné, l'anglais déclic dans ta tête et de continuer, de continuer, puis, à un moment donné, l'anglais déclic dans ta tête, puis tu apprends la langue, tu passes à travers.

Trevor Botkin:

Et puis, c'est pas tous les gens de sport, c'est pas tous les athlètes qui font le chemin quand ils quittent jouer professionnel et puis aller au business. Mais toi, la changement, c'est quoi dans ta vie? C'est quoi les leçons que tu as eues comme soit athlète ou comme jeune Sébastien qui était comme instrumentale de la base de ton succès aujourd'hui, Je pense que j'avais déjà en moi, dans un très jeune âge, une firme entrepreneuriale.

Sébastien Roy:

Mon père avait une business familiale.

Sébastien Roy:

Donc ça part de là.

Sébastien Roy:

Donc, mes frères, j'ai deux grands frères, mon père, ma mère, mon père avait une station de service avec des remorques, avec la mécanique générale, avec, évidemment, j'étais pompiste on met de l'essence dans les voitures. Donc, c'était la business familiale. Dans les années 80-88, où le taux d'intérêt n'avait pas monté up, et tout ça. À un moment donné, tu vas m'en souvenir, mon père avait exercé sa close shotgun dans sa convention d'actionnaire, puis son associé du temps a voulu l'acheter, puis il a dit No way, moi, ça va être votre acheté. Mais à ce moment-là, il fait des gros sous fait que tout le monde a travaillé dans la vie. Moi, j'ai commencé à travailler à 11 ans. Donc, j'étais dans le garage de mon père. À 11 ans, je commençais déjà à mettre l'argent de côté, les amis de côté. De d'enfance, on avait parti des petits business de tourner de gazon, d'arracher des mauvaises herbes. L'entrepreneuriat la débrouillardise.

Sébastien Roy:

Apprendre à parler, être dans un monde d'adultes rapidement, ça a été un peu, ça m'a accéléré, je pense, parce que le service à clientèle, quand tu vas rencontrer quelqu'un, il faut mettre l'essence dans son auto. Oui, tu sais, il faut que tu apprennes à communiquer bien avec les gens, il faut que tu apprennes aussi à les mettre à l'aise, puis à amener certains sujets de conversation, parce que c'est du service à clientèle. J'ai été mis dans ce bain-là, moi, très jeune, très tôt dans ma vie, à penser business. J'ai travaillé pour mon père, j'ai travaillé dans un hôpital aussi, j'ai fait un stage dans une compagnie de compresseurs. Donc, tu sais, je veux dire, j'ai fait quelques autres affaires, mais je suis allé à l'école, je suis sorti de l'école, puis je me suis fait propêcher dans l'île canadienne.

Sébastien Roy:

Puis, en même temps, après ma la première saison, c'est mon ami du temps, qui était Éric Lapointe on était amis longtemps qui m'a dit je te verrai dans le domaine, ça peut être en commençant en finance. Donc, c'est commencé comme ça. J'ai commencé, comme on peut dire, au bas de l'échelle. J'ai passé le balai, j'ai pété, j'ai été faire mes licences, j'ai ach, vraiment, au bas de l'échelle, je te verrais là-dedans, ça te tente-tu d'essayer? Ben oui, on lance.

Sébastien Roy:

J'ai été son adjoint, j'ai fait mes cours de valeur mobilière, j'ai fait mes cours de planification, ainsi de suite. Mais je n'ai jamais rien, cette business-là, avec différents partenaires, j'en ai eu plusieurs, mais moi, ça fait 21 ans que je suis en affaires. L'entrepreneuriat partait de l'héritage que j'ai reçu de ma famille entrepreneuriale avec mon père. Mais je ne voyais pas comment je pouvais faire autre chose Quand je travaillais pour des boss. Ça ne marchait pas pour moi. C'était décidé que j'allais avoir une business. Je ne peux pas le savoir, mais je suis tombé dans la planification financière, dans la gestion du patrimoine. Ça en est devenu une passion et on a continué à monter les échelons là-dedans.

Trevor Botkin:

C'est quoi, dans le domaine de finances de patrimoine, qui donne toi toute la passion? C'est vraiment évident que tu es passionné de ton business avec tes clients. Mais c'est quoi, spécialement, qui donne la?

Sébastien Roy:

Parce que pour moi, quand tu arrêtes de jouer, au football, je vais être honnête, il y a un gros, gros, gros, gros. Comment je peux expliquer? Tu fais quasiment une petite dépression, parce que tu as tellement un high, tu es tellement un apogée, puis du jour au lendemain, tu n'es plus rien, tu n'es plus là. Je ne veux pas dire que tu es un nobody, mais c'est vrai. Pareil, tu es sur le high, le top de la montagne, puis du jour au lendemain, on te dit Écoute, tu n'es pas assez bon, mais va-t'en chez vous, parce que c'est très cruel. Le sport professionnel, en passant, c'est très difficile et cruel parce que tu es remplaçable. Mais pour répondre à la question, c'est que la business, tu sais, tu approches les affaires, c'est comme approcher, que ce soit un chanteur, que ce soit un acteur, tu es un acteur, tu es Trevor ou un professionnel de sport, comme un joueur de football. Bien, il y a trois choses. Bien, tu as tes jours où tu performes. Ça veut dire that's the entertainment, the show must go on. Ça, c'est focus day. Tu sais, c'est là, day, c'est là. Il faut que ça marche, il faut que tu le fasses, que tu performes. Ensuite, de ça, tu as tes jours de pratique Pour un acteur, le nombre de textes que tu dois pratiquer, pratiquer, pratiquer pour faire le show, même à faire avec un joueur de foot, même à faire en affaires, on doit se pratiquer, on doit rencontrer des gens, on doit faire des processus. Puis, ensuite, de ça, tu as tes off days. Tes off days, c'est des jours de récupération.

Sébastien Roy:

Il y a beaucoup de choses dans le sport professionnel, dans le sport, que tu peux appliquer dans une business, parce que c'est pareil Mettre des systèmes en place, mettre des processus en place. Puis, le gros, gros, c'est que tu veux gagner la game ou tu veux faire une belle performance. Donc, mon résultat, c'est quand je vois que mes clients sont satisfaits et qu'on arrive à leurs objectifs. Quand ils m'appellent comme il y en a un qui m'a appelé avant les vacances, il me dit Seb, je viens d'acheter mon voilier, je m'en vais en Italie, je suis, je suis tellement content. On avait parlé de ça il y a 7 ans. I'm doing it now, job done, parce que le résultat, i win the game.

Sébastien Roy:

Mais avant de ça, moi, ce que je trouve intéressant de la business, c'est comme le sport professionnel, si moindrement, si t'as de la discipline, t'es capable de travailler en équipe et de bâtir des équipes. Parce que je pense qu'on ne peut rien faire seul, on peut tout faire en équipe puis d'amener ces gens-là à croire à tes valeurs, de croire à on va vraiment amener de la valeur et changer la vie des gens ou aider les gens. Bien, they're going to follow you, ils vont te suivre, ils vont embarquer. Il y a beaucoup, c'est sûr qu'il y a beaucoup de joueurs de football en finance ou dans des cadres comme Avocat ou autre, parce qu'on est discipliné, on sait c'est quoi travailler fort, on n'a pas peur d'échouer. Si je tombe à terre, ils vont me relever. Ce n'est pas parce que tu viens de me foutre la paire que je ne me lèverai pas et je vais faire le prochain jeu.

Sébastien Roy:

La vision, c'est I'm not trying to win the game. Je vais le dire en anglais I'm not trying to win the game, i'm just trying to do the next play perfectly. Ça, c'est mon attitude de m'améliorer dans, juste, le prochain jeu, je veux le faire le mieux possible. Le prochain jeu, c'est la prochaine rencontre que j'ai avec mon prochain client. Mais si je fais tous les petits détails comme ça dans mon système, parce que c'est ce qu'on fait nous, bien, je vais la gagner la game. Ça, c'est Nick Saban qui avait déjà dit ça dans un speech, là, dans un affaire, il avait dit ça. Il a, je dis Guys, on approche la game complètement de la mauvaise façon. On n'essaie pas de gagner la game, on essaie juste de rouler le prochain jeu, parfaitement.

Trevor Botkin:

Si on roule tous nos jeux parfaitement, le résultat va être là». Et pensez-vous que votre expérience dans le sport d'équipe qui le football, c'est vraiment un sport d'équipe a fait de vous un meilleur chef d'entreprise en sport d'équipe, a fait de vous un meilleur?

Sébastien Roy:

chef d'entreprise. Moi, je suis sûr que oui, ça m'a fait un meilleur chef d'entreprise, parce que j'ai été souvent capitaine d'équipe aussi dans mes, tu sais, que ce soit au cégep ou à l'université. Donc, je comprenais aussi que bien, tu as 12 gars sur le terrain, puis c'est les 12 gars avec qui il faut que tu travailles. Puis, c'est pas tous des all-stars là, c'est pas tous des, ils ont leur force, leur faiblesse, puis t'es un coach. Bien, le coach bien, oui, il faut que tu. It's all about trust, c'est tout à part la confiance, puis c'est tout de comprendre, puis de t'encourager, puis d l'a manqué, cette fois-là, c'est pas grave, le big man, on y retourne, c'est correct. Puis d'avoir aussi la confiance, c'est très, très puissant le football, parce que un, on a mal, c'est un sport de contact, ça frappe dur. Tu reviens dans le caucus, t'es fatigué, mais quand tu regardes les yeux de ces gens-là, quand tu joues au football et qu'ils veulent aller à la guerre avec toi, le sentiment d'énergie que tu ressens est merveilleux.

Sébastien Roy:

Tu peux retrouver la même chose avec tes équipes, que ce soit en finance, que ce soit n'importe quel business. Si tu es capable de transcender les valeurs du football, c'est sûr que ça ne fait pas un meilleur leader. C'est sûr que ça fait de moi un meilleur leader. C'est sûr que ça fait de moi un meilleur leader. C'est sûr que ça fait de moi parce que ça fait de moi une personne passionnée, Ça fait de moi où les gens, quand ils me voient, ils me disent je vais le suivre. Je leur dis as-tu vu la bébite? Il est prêt, il est crainté, il veut y aller.

Sébastien Roy:

C'est sûr que le sport, le football pour moi, m'a énormément aidé à canaliser, à comprendre le leadership aussi. C'est pas de taper sur le monde, c'est pas de crier après les gens, c'est plutôt de les encourager, c'est plutôt d'aller voir hey, c'est ça sa limite, on n'en dit pas plus, on ne peut pas faire plus. Trouve une autre façon de le ramener. Il ne peut pas couvrir le meilleur receveur Change-les, mets-en un nom. Mais il peut faire autre chose, par exemple, mais c'est la même affaire en business, si tu as un employé qui a ben non, il y a une lacune à ce niveau-là. Ta job comme leader, comme capitaine, c'est de les mettre dans le meilleur environnement possible pour qu'ils puissent faire quoi Win the game, exact, être au meilleur niveau.

Trevor Botkin:

C à un meilleur niveau. C'est une parfaite réponse. Et à votre avis, c'est quoi l'avenir de la gestion de patrimoine?

Sébastien Roy:

La gestion de patrimoine actuellement, je pense qu'elle va avoir un.

Sébastien Roy:

Moi, ça fait longtemps que je vois que, actuellement, les gens travaillent énormément en silo, ce qui veut dire qu'ils font les placements, ils font l'assurance. Les gens travaillent énormément en silo, ce qui veut dire qu'ils font les placements, ils font l'assurance, ils se limitent à faire des choses comme ça. La gestion patrimoine, je vais comparer ça à un corps humain. Le corps humain est un multiple système, c'est-à-dire qu'on a un système sanguin, un système de muscles, un système osseux, un système de digestion, un système de respiration. Il y a un système genre ça, c'est le cerveau. La même affaire en patrimoine, ça veut dire que vous avez un système de comptabilité, un système de finances, un système de prêts, un système de placement, un système d'assurance. Il y a beaucoup de systèmes, mais qu'est-ce qui se passe? Qu'est-ce qui se passe? Ce que je vois dans l'industrie, c'est qu'on touche à un ou deux systèmes, puis on laisse les autres de côté. Quand c'est tout holistique. Si tu veux que ta santé personnelle fonctionne, il faut que tout dans ton corps soit optimisé. Donc, il faut que tout dans ton corps soit optimisé. Donc, il faut que tout dans ton système de patrimoine, on aille au moins te voir et réfléchir. Moi, j'appelle ça passer une prise de sang financière d'aller vérifier, comme un médecin. Un médecin va aller vérifier les barèmes de ton système sanguin, système osseux, les vitamines, et ainsi de suite. Donc, trop souvent, on vérifie ce qui va être payant pour le représentant Ah, j'aurais vérifié les placements, l'assurance, la fiscalité, un peu parce que c'est là qu'il va aller vendre des produits. Mais il y a trois à quatre autres systèmes que si on ne les vérifie pas, comme le testament, les mandats d'inaptitude, comme ensuite de ça, les, comme le testament, les membres de l'attitude, comme ensuite de ça, les conventions attractionnaires, comme ensuite de ça. Il y a plein d'autres systèmes qui ont un énorme linking dans le patrimoine des gens. Puis, ça peut avoir des énormes répercussions De dire j'ai juste vérifié, voir dans ton système, j'ai juste vérifié si tes poumons allaient bien, mais Christy, tu as des métastases dans ton corps, ça n'arrivera pas bien, tu comprends? J'essaie de comparer ça en disant qu'il faut faire un bilan complet. Actuellement, il y en a des approches holistiques, il y en a des approches où les gens vont regarder un peu plus loin que les 3-4 affaires, plus loin que les trois, quatre affaires. Mais moi, nous sommes convaincus que chez Patrimoine privé 934, ma business, qu'on doit faire le tour de tout.

Sébastien Roy:

Puis, moi, je suis arrivé avec la formule d'avoir un 360, d'avoir les 12 professionnels, ce qui veut dire les notaires, les avocats, les comptables, les fiscalistes, les courtiers protecteurs, les courtiers emplacement, assurances, et tout ça, financièrement, l'industrie ne prend pas cette tangente-là, et on est les rares à faire pas qu'on est les seuls, mais on est les rares à faire ça parce qu'on considère oui, c'est beaucoup de temps, mais une fois qu'on a pris le temps, la valeur ajoutée est énorme, parce que là, le cerveau, ça veut dire que le système ultime qui gère, là, on est en Le cerveau, ça veut dire que c'est le système ultime qui gère tout. Bien, on est en mesure de prendre des meilleures décisions parce qu'on a vérifié l'ensemble de tous nos systèmes. Donc, ce que je veux dire, c'est que l'industrie de la finance, ils disent qu'ils ont une approche holistique, ça veut dire qu'ils regardent tout, mais dans les faits, ils ne vont pas si loin que ça, ils arrêtent à Ah, ça, c'est payant, on va le faire, Ça, c'est payant. Je comprends qu'il faut faire des sous, Je comprends, mais faire un testament, ce n'est pas si payant que ça.

Sébastien Roy:

Mais avoir un testament mal fait, tu viens de mettre la succession de ton client dans de la misère si tu ne le fais pas comme il faut. C'est ça un peu ce que je pense de l'industrie. Il y a beaucoup de compétition. Je pense qu'on aurait à apprendre entre chacun le représentant et partager sur les meilleures pratiques. La compétition est avec moi-même. Ça, c'est le goût de foot. Je n'ai pas de compétition avec n'importe qui. Je sais ce que ma compétition fait comme produit. Je sais pas ce qu'ils vont faire dans les institutions financières, mais il faut faire attention à ça, parce que moi, je suis un indépendant. J'ai pas de produit à vendre, j'ai le marché. Je vais prendre ce qui est le mieux pour mes clients et on s'entend.

Sébastien Roy:

Il y en a en tabarouette Trevor, des produits, c'est énorme. Il y a 47 000 fonds mutuels, 4 600 ETF, puis il doit y avoir 10 000 actions. Imagine-toi, il y en a beaucoup de choses. Puis là, toi, comme professionnel, tu bâtis ta recette de gâteau au chocolat qui fait du sens pour ta clientèle. Moi, je pense qu'il y a plein de recettes, parce que ton gâteau au chocolat, il est sûrement aussi bon que le mien. Puis, tu es content au bout de la ligne. Ce qui est important, c'est le résultat. À la fin, est-ce qu'on a amené de la valeur au client avec cette approche-là.

Sébastien Roy:

Trop souvent, je vois du monde que leur placement ou leur situation ne s'est pas mis de l'avant avec un plan réfléchi. Un plan, ce n'est pas juste de dire on fait un plan, non, non, c'est parce que c'est un plan d'entraînement, c'est un plan alimentaire, c'est la même affaire Au point de vue de la finance. Puis, en plus, là, on rentre dans l'intelligence artificielle énormément, où ce que nous, ça existe déjà depuis longtemps. Il va y avoir des changements. Puis, il y a des gens qui vont falloir qu'ils se regardent dans le miroir, puis ils ajoutent des services dans leur équipe, parce qu'à un moment donné, l'intelligence artificielle, elle va le faire, elle fait déjà le gérer les placements, elle fait déjà faire certaines choses, qu'elle va venir à le faire mieux que nous. Ça, c'est juste évident que ça s'en vient.

Trevor Botkin:

Oui, ça s'en vient, Mais c'est tous les domaines, ce n'est pas juste la finance, la patrimoine.

Sébastien Roy:

Non, mais ça existe déjà depuis 10 ans. les robot advisors les call, les put, tout ça. On est déjà dans ça. Mais c'est comment amener de la valeur?

Trevor Botkin:

Exact, c'est quoi le rapport entre la santé physique et la santé financière?

Sébastien Roy:

Voyons donc, c'est tellement relié. Puis, c'est ça ma mission. Moi, c'est de la santé globale que je parle avec mes clients. Je parle avec mes clients qui ont plusieurs millions, ils ont des sous. Je regarde, je sache ça. Je dis hey, le gros excusez l'expression, ça fait longtemps que tu es allé sur un treadmill, tu as marché parce que il me semble que tu as 25-30 livres. Il y a du sabotage. Les gens vont On en parlait avec une de nos membres qui était Fallon, qui parlait de sabotage cette semaine Bien, si, je suis capable de te mettre en santé physique, attends là, c'est pas tout le monde qui est comme moi.

Sébastien Roy:

Moi, j'aime ça, me pousser plus loin, mais c'est pas grave, tout le monde a son niveau. Mais que tu sois en santé, que tu sois pas en surpoids, que tu dors bien, que tu prends pas de pilules, que tu as mes voies médicalement, mais que ta vie, santé, santé physique et mentale, est à un niveau hyper, bon, ben, voyons donc, ça va avoir un énorme résultat être, plus productif, tu vas avoir peut-être plus de temps, tu vas être mieux à la maison, tu vas avoir plus de patience.

Sébastien Roy:

Tu vas avoir plein d'effets qui sont, on peut dire, intrinsèques. On ne peut peut-être pas les monétiser, mais c'est sûr que tu as un effet. C'est interrelié. J'ai des gens que j'ai regardés, suis dit écoute, c'est beau, là, tu as vendu ta business, mais c'est parce que cet argent-là, ce n'est pas toi qui vas dépenser, ça va être tes enfants. Si tu ne changes pas ton alimentation, si tu ne commences pas à faire du sport, bien, c'est tes enfants qui vont la dépenser, et pas toi. Et tu ne verras pas le mariage de ta fille. Donc, c'est prouvé. D'ailleurs, produisent plus, réalisent plus leurs objectifs, réalisent plus leurs rêves. Donc, c'est lié directement, c'est corrélé direct. T'es en santé, tu produis plus, t'as plus de résultats.

Trevor Botkin:

Et c'est la même pour ton équipe. je suppose aussi ton mission aussi avec ton équipe façons d'approcher les employés.

Sébastien Roy:

maintenant, ce n'est plus comme faire comme on faisait auparavant. Ça a changé. On veut arriver à trouver des gens qui vont fitter dans nos valeurs de santé globale. Je ne peux pas forcer personne à dire va t'entraîner, va bien manger. Je peux simplement suggérer et donner les outils. Les outils sont là. Si ils veulent les prendre, on s'en occupe pour eux. Ils peuvent aller voir, ils peuvent aller voir se faire faire un plan alimentaire, un plan d'entraînement. Ils peuvent avoir accès aussi à une psychologue. On en a une dans notre groupe. Ils peuvent avoir accès à tout ça. D'ailleurs, on a commencé à aller coacher avec Fallon, une de nos membres, qui vient coacher certaines de nos employés. Moi, je crois à ça, puis je le mets en avant-plan et je paye pour ça pour mes employés, parce que je sais que je vais avoir un retour sur l'investissement. Ça va être leur santé, ils vont avoir un sourire, leur attitude va changer. puis, inévitablement, au bout de la ligne, mon rendement risque d'être meilleur.

Trevor Botkin:

Excellent Merci, un grand merci à Sébastien Roy d'avoir partagé ton parcours incroyable. Ce n'est pas tous les gens qui ont un parcours qui commence en CFL mais qui, aujourd'hui, fait une belle business en passe-monde avec en santé. Merci d'être ici avec nous aujourd'hui.

Sébastien Roy:

Merci de l'invitation. J'apprécie. On est là pour aider les gens. Écoute, si on a inspiré des gens à vouloir se prendre en main, que ce soit physiquement ou même au point de vue de santé financière, on est là pour les aider.

Trevor Botkin:

Je vais ajouter aussi dans les liner notes de podcast où tu peux connecter avec Sébastien son site de web et son lien au LinkedIn. On va partager ça tout avec le podcast. Je tiens également à exprimer ma gratitude à tous nos auditeurs aujourd'hui et, bien sûr, à remercier tout particulièrement les membres de Corporate Connections Canada. Votre engagement à établir des liens significatifs et favoriser le leadership au sein de notre communauté rend possible des épisodes comme celui-ci aujourd'hui. Donc, toujours comme bien, comment? toujours? merci, seb. Je suis vraiment, vraiment content d'avoir toi comme membre, mais aussi comme ami, dans notre communauté. Donc, merci, comme toujours.

Sébastien Roy:

Bien, j'apprécie. Puis, bravo à toi d'avoir fait cette entrevue en français. C'est merveilleux de te voir évoluer dans cette langue, qui n'est pas facile pour toi des fois.

Trevor Botkin:

Pas toujours facile, mais c'est vraiment une grande joie d'être J'étais au Italie cet été et d'avoir pas la connaissance en italien de revenir ici et de parler en deux langues. C'est vraiment J'aime ça. J'adore la langue française, J'adore la façon que les Québécois s'expriment en français, Donc il y a une poétrie qui n'existe pas en anglais nécessairement. Donc j'aime être'y exprimer. Donc, rejoignez-nous la prochaine fois pour découvrir d'autres histoires inspirantes et des points de vue précieux des leaders de divers secteurs d'activité. Merci de nous écouter aujourd'hui et jusqu'à la prochaine fois, continuez à vous connecter et à vous développer Et, comme toujours, c'est ici où les leaders se connectent.